Nicolas Rozier, écrivain et peintre français né en 1971 à Reims, est l’auteur de livres de poésie, de romans et d’essais.
Il publie sur son site nicolasrozier.fr une chronique de critiques intitulée Un Garçon impressionnable.
Ses peintures et ses dessins sont exposés en France et à l’étranger.
Dans les tableaux de Nicolas Rozier, lignes et couleurs sont brandies. Avant la scène, avant la vision articulée, avant les détails, l’armature graphique découpe le tableau en couleurs et l’œil accroche sa volée de carreaux. Tandis que perdure la radiation première, un regard second défalque les formes, la faune simultanément noueuse et angulaire qui rythme les peintures. Ces bolides, ces aigrettes, ces maquettes pareils à des souvenirs de bustes, de têtes et de corps, sont les personnages de Nicolas Rozier. Disséminées sur la toile, groupées en factions ou tournoyantes, ses présences déclenchent et régulent l’atmosphère des tableaux. Elles forment surtout une collection ouverte de corps qui s’animalisent, se cuirassent et s’hybrident à la recherche d’une graphie élancée. Plus que des morphologies imaginaires, ces profils sont les névralgies d’un environnement qui les caractérise, les prolonge à la manière d’un écrin perspectif, d’un réseau de lignes qui les incruste dans une même treille dynamique.
Le milieu où s’intègrent les profils et les bustes s’apparente par ses tendances géométriques, à une fantaisie d’architecte, un fouillis à la Piranèse. Mais dans cette tension d’atmosphère inconstructible, les paysages de Rozier réduisent les esquisses d’arceaux et de droites à des propulseurs de compositions. Les constructions rêveuses de Rozier, par leur propension à cabrer les formes, pourraient trahir une forme de futurisme, mais les à-plats et brusqueries cloisonnistes agissent essentiellement comme des rampes à contrastes. Si l’œuvre du peintre autorise une représentation suggestive de certains territoires, zones malfamées ou vestiges de cités antiques, la matrice avec laquelle les silhouettes font corps impose surtout l’impression d’un champ de force, d’un monde de prestiges, et la possibilité d’une aire désirable. Les peintures et dessins de Rozier ouvrent sur un espace où chaque élément du paysage participe d’un relief orfèvre, d’une espèce inédite de jardin, d’une enceinte primitive modelée à la peinture. Opère alors, dans le regard, un charme stratifié ; par-delà les notations mêlées de paysages suburbains ou d’intérieurs vagues, de cabinet de curiosité ou de fonds marins, se dressent des scènes primitives et sculpturales. En dynamisant ses compositions autour de trouées lumineuses, pratiquant les ruptures de manière et entrechoquant des graphismes hétérogènes, l’artiste cultive le grésillement et le clignotement de ses tableaux polychromes. Les effets de pans encastrés découpent en dents de scie des paysages de brisures aux pans luminescents. L’emploi soufrée de la couleur opère des trouées de fanal, de sas ou d’embrasures, que révulse encore le réseau de lignes au bleu de Prusse ou au carmin. Il y a, dans la manière qu’a l’artiste d’appliquer la couleur, une volonté d’activer la luminosité, la transparence de vitrail et l’éclat de magnésium de ses couleurs d’élection. Pastels, encres et peintures évoquent également les magies du terrain vague et des ruines, mais, à la différence d’un imaginaire issu des casses et des décharges sauvages, les épaves cabrent ici des luxes d’étraves, des maquettes d’édifices, des structures aérodynamiques, des fragments de stations ou de bases, tout un reliquaire de palais inconnus aux accents oniriques. Les automatismes du peintre, cette grammaire de formes inscrites au poignet, en balisent les décors. Les nodosités improvisées et porteuses d’étrange : gris-gris, épouvantails indistincts, figurines, qu’ils soient de type humanoïde ou machinique, qu’ils suggèrent des statues ou des mutants, contribuent à cette tonalité d’univers insituable. La ligne de partage entre l’organique et le non organique se brouille ou s’annule ainsi qu’on l’observe chez les grands surréalistes d’Amérique latine, tels Roberto Matta ou Wilfredo Lam ou encore chez Gorky, l’expressionniste américain.
Ces influences ou aimantations imaginaires, aussi porteuses qu’elles soient, restent subordonnées chez Rozier à l’opération physique du tableau à faire, à la confrontation directe au support ; au dessin, à la couleur, à la composition. Au résultat obtenu, à l’œil et à la main, dans une attaque de la toile et du papier sans médiation externe, quand le support n’est encore que le creux, le moule vide d’un désir à peindre. Au laboratoire des gestes et des matières, l’artiste ambitionne un tableau, d’innombrables tableaux qui vibrent d’abord sans image.
Peintre et écrivain, Nicolas Rozier évoque sa double pratique dans un entretien accordé à Zoé Balthus :
"Le groupe, la bande, la faction, le commando, m’ont toujours attiré pour leur force d’évocation. Plus précisément les groupes restreints où subsistent les magnétismes individuels. Dans ces formations à trois, quatre ou cinq, la part de secret et de clandestinité tire du côté de l’enfance et de l’adolescence. Spontanément, la mention de bande lève pour moi une atmosphère de maquis occupé par des silhouettes furtives, des ombres verticales d’abord indiscernables et aux aguets. Dans ce tableau de présences debout côte à côte gronde en puissance une centrale d’aventure dont les membres du groupe sont les porteurs à haute tension. J’aime ce premier regard d’ensemble, cet instantané statufiant où, à la vision encore imprécise des jeunes profils, miroite une condition extrême : pauvres hères ou seigneurs, guerriers ou poètes, leur vêture de contrejour évoque tant les haillons que la cuirasse. Du reste, le schématisme des visages, le réseau bref de zébrures qui les fondent – je parle ici des peintures – tend à leur donner une manière de camouflage ou de heaume intégré. En ce sens, les personnages de mon roman D’Asphalte et de nuée ressemblent peut-être aux silhouettes présentes dans mes dessins et mes peintures. Quant à dire précisément ce qu’ils représentent, c’est plus délicat. Dans une tribu, ils seraient plutôt les totems. Les peindre ou les raconter, c’est les charger, en activer les pouvoirs, la magie. Ces profils inventés ne peuvent atteindre à des contours finis, ils gardent l’allure décoiffée d’une étude, et surtout cette plasticité propre aux personnages de fiction. Leur traitement schématique joue en faveur de leur grandeur, de leur aptitude à élever leur exception au stéréotype d’un nouveau genre. Quel que soit le soin avec lequel je définis une figure peinte ou un personnage de fiction, j’aime sa part vague et lacunaire. Si l’on veut : le sillage de néant dont ils viennent, l’aura de leur statut fictif. A propos de mes personnages, je ne peux parler que du désir ou de la nécessité imaginaire qui les enfante. Je crois qu’en dessin, en peinture ou en roman, je me tiens avant tout compagnie, je m’offre une compagnie inédite. Dans le même mouvement, je choisis les traits de ces compagnons, de ce voisinage qui fait corps avec tout ce qui m’importe. Ils représentent une continuité, une extension et un rassemblement de facettes amicales et combattives que j’admire ; ce sont alors les portraits d’une immédiate reconnaissance que je m’efforce d’ériger. Quant à savoir ce que cette entité représente, seule ou à plusieurs, une fiche sommaire permet en partie de cerner ce en quoi figures peintes et « héros de papier » se ressemblent : une condition de vagabond sans arrière, d’isolé ou de marginal, une liberté de naufragé, la pratique d’un art, l’occupation d’un territoire désaxé de la civilisation. Mais la dimension porteuse et stimulante de ces personnages tient plus sûrement à un critère distinctif plus fuyant qui a partie liée au charme du caractère, de la personnalité, du style. Disons à leur rayonnement pour reprendre ton image ; un héroïsme insaisissable, une vocation purement altière, presque minérale, d’exemplarité, qui les abouche avec la gravité des statues, y compris dans le roman."
Entretien accordé à la journaliste Zoé Balthus (zoebalthus.com) à l’occasion de la parution du roman D’Asphalte et de nuée (2020)
Il publie sur son site nicolasrozier.fr une chronique de critiques intitulée Un Garçon impressionnable.
Ses peintures et ses dessins sont exposés en France et à l’étranger.
Dans les tableaux de Nicolas Rozier, lignes et couleurs sont brandies. Avant la scène, avant la vision articulée, avant les détails, l’armature graphique découpe le tableau en couleurs et l’œil accroche sa volée de carreaux. Tandis que perdure la radiation première, un regard second défalque les formes, la faune simultanément noueuse et angulaire qui rythme les peintures. Ces bolides, ces aigrettes, ces maquettes pareils à des souvenirs de bustes, de têtes et de corps, sont les personnages de Nicolas Rozier. Disséminées sur la toile, groupées en factions ou tournoyantes, ses présences déclenchent et régulent l’atmosphère des tableaux. Elles forment surtout une collection ouverte de corps qui s’animalisent, se cuirassent et s’hybrident à la recherche d’une graphie élancée. Plus que des morphologies imaginaires, ces profils sont les névralgies d’un environnement qui les caractérise, les prolonge à la manière d’un écrin perspectif, d’un réseau de lignes qui les incruste dans une même treille dynamique.
Le milieu où s’intègrent les profils et les bustes s’apparente par ses tendances géométriques, à une fantaisie d’architecte, un fouillis à la Piranèse. Mais dans cette tension d’atmosphère inconstructible, les paysages de Rozier réduisent les esquisses d’arceaux et de droites à des propulseurs de compositions. Les constructions rêveuses de Rozier, par leur propension à cabrer les formes, pourraient trahir une forme de futurisme, mais les à-plats et brusqueries cloisonnistes agissent essentiellement comme des rampes à contrastes. Si l’œuvre du peintre autorise une représentation suggestive de certains territoires, zones malfamées ou vestiges de cités antiques, la matrice avec laquelle les silhouettes font corps impose surtout l’impression d’un champ de force, d’un monde de prestiges, et la possibilité d’une aire désirable. Les peintures et dessins de Rozier ouvrent sur un espace où chaque élément du paysage participe d’un relief orfèvre, d’une espèce inédite de jardin, d’une enceinte primitive modelée à la peinture. Opère alors, dans le regard, un charme stratifié ; par-delà les notations mêlées de paysages suburbains ou d’intérieurs vagues, de cabinet de curiosité ou de fonds marins, se dressent des scènes primitives et sculpturales. En dynamisant ses compositions autour de trouées lumineuses, pratiquant les ruptures de manière et entrechoquant des graphismes hétérogènes, l’artiste cultive le grésillement et le clignotement de ses tableaux polychromes. Les effets de pans encastrés découpent en dents de scie des paysages de brisures aux pans luminescents. L’emploi soufrée de la couleur opère des trouées de fanal, de sas ou d’embrasures, que révulse encore le réseau de lignes au bleu de Prusse ou au carmin. Il y a, dans la manière qu’a l’artiste d’appliquer la couleur, une volonté d’activer la luminosité, la transparence de vitrail et l’éclat de magnésium de ses couleurs d’élection. Pastels, encres et peintures évoquent également les magies du terrain vague et des ruines, mais, à la différence d’un imaginaire issu des casses et des décharges sauvages, les épaves cabrent ici des luxes d’étraves, des maquettes d’édifices, des structures aérodynamiques, des fragments de stations ou de bases, tout un reliquaire de palais inconnus aux accents oniriques. Les automatismes du peintre, cette grammaire de formes inscrites au poignet, en balisent les décors. Les nodosités improvisées et porteuses d’étrange : gris-gris, épouvantails indistincts, figurines, qu’ils soient de type humanoïde ou machinique, qu’ils suggèrent des statues ou des mutants, contribuent à cette tonalité d’univers insituable. La ligne de partage entre l’organique et le non organique se brouille ou s’annule ainsi qu’on l’observe chez les grands surréalistes d’Amérique latine, tels Roberto Matta ou Wilfredo Lam ou encore chez Gorky, l’expressionniste américain.
Ces influences ou aimantations imaginaires, aussi porteuses qu’elles soient, restent subordonnées chez Rozier à l’opération physique du tableau à faire, à la confrontation directe au support ; au dessin, à la couleur, à la composition. Au résultat obtenu, à l’œil et à la main, dans une attaque de la toile et du papier sans médiation externe, quand le support n’est encore que le creux, le moule vide d’un désir à peindre. Au laboratoire des gestes et des matières, l’artiste ambitionne un tableau, d’innombrables tableaux qui vibrent d’abord sans image.
Peintre et écrivain, Nicolas Rozier évoque sa double pratique dans un entretien accordé à Zoé Balthus :
"Le groupe, la bande, la faction, le commando, m’ont toujours attiré pour leur force d’évocation. Plus précisément les groupes restreints où subsistent les magnétismes individuels. Dans ces formations à trois, quatre ou cinq, la part de secret et de clandestinité tire du côté de l’enfance et de l’adolescence. Spontanément, la mention de bande lève pour moi une atmosphère de maquis occupé par des silhouettes furtives, des ombres verticales d’abord indiscernables et aux aguets. Dans ce tableau de présences debout côte à côte gronde en puissance une centrale d’aventure dont les membres du groupe sont les porteurs à haute tension. J’aime ce premier regard d’ensemble, cet instantané statufiant où, à la vision encore imprécise des jeunes profils, miroite une condition extrême : pauvres hères ou seigneurs, guerriers ou poètes, leur vêture de contrejour évoque tant les haillons que la cuirasse. Du reste, le schématisme des visages, le réseau bref de zébrures qui les fondent – je parle ici des peintures – tend à leur donner une manière de camouflage ou de heaume intégré. En ce sens, les personnages de mon roman D’Asphalte et de nuée ressemblent peut-être aux silhouettes présentes dans mes dessins et mes peintures. Quant à dire précisément ce qu’ils représentent, c’est plus délicat. Dans une tribu, ils seraient plutôt les totems. Les peindre ou les raconter, c’est les charger, en activer les pouvoirs, la magie. Ces profils inventés ne peuvent atteindre à des contours finis, ils gardent l’allure décoiffée d’une étude, et surtout cette plasticité propre aux personnages de fiction. Leur traitement schématique joue en faveur de leur grandeur, de leur aptitude à élever leur exception au stéréotype d’un nouveau genre. Quel que soit le soin avec lequel je définis une figure peinte ou un personnage de fiction, j’aime sa part vague et lacunaire. Si l’on veut : le sillage de néant dont ils viennent, l’aura de leur statut fictif. A propos de mes personnages, je ne peux parler que du désir ou de la nécessité imaginaire qui les enfante. Je crois qu’en dessin, en peinture ou en roman, je me tiens avant tout compagnie, je m’offre une compagnie inédite. Dans le même mouvement, je choisis les traits de ces compagnons, de ce voisinage qui fait corps avec tout ce qui m’importe. Ils représentent une continuité, une extension et un rassemblement de facettes amicales et combattives que j’admire ; ce sont alors les portraits d’une immédiate reconnaissance que je m’efforce d’ériger. Quant à savoir ce que cette entité représente, seule ou à plusieurs, une fiche sommaire permet en partie de cerner ce en quoi figures peintes et « héros de papier » se ressemblent : une condition de vagabond sans arrière, d’isolé ou de marginal, une liberté de naufragé, la pratique d’un art, l’occupation d’un territoire désaxé de la civilisation. Mais la dimension porteuse et stimulante de ces personnages tient plus sûrement à un critère distinctif plus fuyant qui a partie liée au charme du caractère, de la personnalité, du style. Disons à leur rayonnement pour reprendre ton image ; un héroïsme insaisissable, une vocation purement altière, presque minérale, d’exemplarité, qui les abouche avec la gravité des statues, y compris dans le roman."
Entretien accordé à la journaliste Zoé Balthus (zoebalthus.com) à l’occasion de la parution du roman D’Asphalte et de nuée (2020)
EXPOSITIONS
2023 Galerie la Prévôté, Aix-en-Provence, 1er au 15 août
Collégiale Saint-Pierre-la-Cour, Le Mans, 6 janvier-28 février
2022 Galerie éphémère Ghislain Duroy, Alençon, mai-juin
2021 Librairie Galerie La Curieuse, Argentan, mars.
Espace Art et Liberté, Charenton-le-Pont, mai-juillet.
"Secteur ouest", Résidence au Manoir de Couesme, Ancinnes, mai-août.
Meurcé, Lieu de Création, du 3 septembre au 1er octobre.
2013 Abbaye de Neumünster, Luxembourg.
2012 L’Usine, Paris.
Musée d’Ixelles, Bruxelles
Galerie Lillebonne, Nancy, grands formats pendus, dessins et lecture du Recrachement des doublures livre d'artiste avec José Galdo
2011 L’Arrivage, Troyes.
Galerie Albert Dumont, Bruxelles, mars-avril.
Centre Européen de Poésie d’Avignon.
2010 Galerie Zedes, Bruxelles.
Musée Rimbaud, Charleville-Mézières.
Galerie de la Halle Saint-Pierre Paris.
15e Biennale Internationale « Petit Format de Papier » août-octobre.
2009 Médiathèque, Reims.
Galerie Concha de Nazelle, Toulouse.
2008 Espace Lebon, Charleville-Mézières.
2007 Galerie Beukenhof – Kluisbergen, octobre, Belgique.
2006 Centre Culturel Elzenhof, Bruxelles.
Galerie La Louve, Léglise, Belgique.
2004 Espace d’Art contemporain, « L’Orangerie », Bastogne, Belgique.
Comédie de Reims.
Ancien Collège des jésuites, Reims.
2003 Espace Camille Claudel, Saint-Dizier.
2002 Centre d’Art et de Culture La Pierre Longe, ORCCA, Auménancourt (51) avril-juillet.
2001 Galerie Zedes, Bruxelles.
Café du Palais, Reims.
Villa Douce, Reims.
L'artiste accompagne graphiquement d'autres auteurs. On lui doit «Trois dessins», Guillevic, L'Errance questionnante, d'Olivier Penot-Lacassagne, Reims, Le Clou dans le fer, 2004; «Frontispice», Le Réel d'à côté de Charles Dobzynski; «Illustration», Variations Daumal de Zéno Bianu, Angy, Le Temps volé, mars 2008; Pyro, no 14, mars 2008; «Cahier de création» pour Andreï Tarkovski, Nunc, no 11, septembre 2009; «Dessins» Le Recrachement des doublures de José Galdo, Nancy, Au fond du grenier, décembre 2010; Revue naissante 21, Nunc, Éditions de Corlevour, juin 2010; Autour de l'art, Lausanne, L'Âge d'homme, 2013; «Trois dessins», qui accompagnent trois poèmes de Patrick Amstutz, Trou, n° XX, octobre 2010; «7 encres», La Nuit, la nuit entière de Pierre Dhainaut; Baume-les-Dames, Aencrage & Co, mai 2011; «portrait d’André Laude», Tombeau pour les rares, Cahiers André Laude; «Série», Cahiers Bataille, no 2, Éditions Les Cahiers, octobre 2014; Couverture, Le Magazine de l’art, 2014.
Pour toute demande concernant la vente des œuvres : [email protected]
Identifiant SIRET : 44024058800028
2023 Galerie la Prévôté, Aix-en-Provence, 1er au 15 août
Collégiale Saint-Pierre-la-Cour, Le Mans, 6 janvier-28 février
2022 Galerie éphémère Ghislain Duroy, Alençon, mai-juin
2021 Librairie Galerie La Curieuse, Argentan, mars.
Espace Art et Liberté, Charenton-le-Pont, mai-juillet.
"Secteur ouest", Résidence au Manoir de Couesme, Ancinnes, mai-août.
Meurcé, Lieu de Création, du 3 septembre au 1er octobre.
2013 Abbaye de Neumünster, Luxembourg.
2012 L’Usine, Paris.
Musée d’Ixelles, Bruxelles
Galerie Lillebonne, Nancy, grands formats pendus, dessins et lecture du Recrachement des doublures livre d'artiste avec José Galdo
2011 L’Arrivage, Troyes.
Galerie Albert Dumont, Bruxelles, mars-avril.
Centre Européen de Poésie d’Avignon.
2010 Galerie Zedes, Bruxelles.
Musée Rimbaud, Charleville-Mézières.
Galerie de la Halle Saint-Pierre Paris.
15e Biennale Internationale « Petit Format de Papier » août-octobre.
2009 Médiathèque, Reims.
Galerie Concha de Nazelle, Toulouse.
2008 Espace Lebon, Charleville-Mézières.
2007 Galerie Beukenhof – Kluisbergen, octobre, Belgique.
2006 Centre Culturel Elzenhof, Bruxelles.
Galerie La Louve, Léglise, Belgique.
2004 Espace d’Art contemporain, « L’Orangerie », Bastogne, Belgique.
Comédie de Reims.
Ancien Collège des jésuites, Reims.
2003 Espace Camille Claudel, Saint-Dizier.
2002 Centre d’Art et de Culture La Pierre Longe, ORCCA, Auménancourt (51) avril-juillet.
2001 Galerie Zedes, Bruxelles.
Café du Palais, Reims.
Villa Douce, Reims.
L'artiste accompagne graphiquement d'autres auteurs. On lui doit «Trois dessins», Guillevic, L'Errance questionnante, d'Olivier Penot-Lacassagne, Reims, Le Clou dans le fer, 2004; «Frontispice», Le Réel d'à côté de Charles Dobzynski; «Illustration», Variations Daumal de Zéno Bianu, Angy, Le Temps volé, mars 2008; Pyro, no 14, mars 2008; «Cahier de création» pour Andreï Tarkovski, Nunc, no 11, septembre 2009; «Dessins» Le Recrachement des doublures de José Galdo, Nancy, Au fond du grenier, décembre 2010; Revue naissante 21, Nunc, Éditions de Corlevour, juin 2010; Autour de l'art, Lausanne, L'Âge d'homme, 2013; «Trois dessins», qui accompagnent trois poèmes de Patrick Amstutz, Trou, n° XX, octobre 2010; «7 encres», La Nuit, la nuit entière de Pierre Dhainaut; Baume-les-Dames, Aencrage & Co, mai 2011; «portrait d’André Laude», Tombeau pour les rares, Cahiers André Laude; «Série», Cahiers Bataille, no 2, Éditions Les Cahiers, octobre 2014; Couverture, Le Magazine de l’art, 2014.
Pour toute demande concernant la vente des œuvres : [email protected]
Identifiant SIRET : 44024058800028